C'est à Venise que Vincent Corvec a réalisé ce triptyque d'animation égalant et onirique, illustrant son E.P. Intitulé « L'Amour n'est Rien ». Grace à la technique stop-motion-paper & cardboard, l'italien Stefano Bertelli met en image ces trois chansons, au sein d'un ensemble esthétiquement cohérent. Ainsi, trois films s’entremêlent en un : entre rêve et réalité, quête mélancolique et impression paramnésique de déjà-vu. Un voyage mental d'un homme pris dans le vertige et l'ambivalence du sentiment amoureux, au son de la bande-originale d'une vie intérieure.